Neuroscience et cerveau

Anatomie cérébrale

Constitution biologique cérébrale

Le cerveau humain est un ensemble de structures ordonnées sur 5 étages.

1er étage : Le tronc cérébral
C’est une structure cérébrale qui prolonge la moelle épinière pour aller PLONGER dans la partie centrale du cerveau. C’est le  centre de la  vigilance,  et  de la  prise de conscience du jour et de la nuit. Il est parcouru en son centre-au milieu- par une matière grise que l’on trouve tout en haut du cerveau, ce que l’on appelle la fonction veille active et désactive. C’est cette partie qui est appelée à tort “reptilien”, et qui n’a de reptile que le nom !

Dans cette matière, on a trouvé des amas de neurones. Ce sont les neurones de la rythmicité du cerveau, c’est la où est commandé le rythme cérébral. Nous trouvons ensuite  la  moelle  allongée,  le pont puis la partie haute du ton cérébrale. C’est  à  cet  endroit  là  que  sont  commandés  tous  les centres de commande de tous les organes du corps à distance. Dans cette partie précise, nous trouvons le centre de la respiration, qui dispose d’une double commande respiratoire à 80% inconsciente. L’animal, lui n’a pas cette possibilité. Juste à coté, un autre centre responsable du rythme cardiaque. Il commandera au cœur d’arrêter sa fonction 4 centièmes de milliseconde avant, via son relais nodale dans le cœur, en cas de destruction du myocarde lors notamment d’un infarctus invasif.

2ème étage :
C’est à cet endroit où nous avons la production de la dopamine; une neuro-hormone, produite par le corps noir. Les neurones qui vont synthétiser et libérer de la dopamine sont noirâtre. Cette dopamine à une forte incidence cérébrale. Elle agit sur l’équilibre du corps. Cette dernière occasionne dans son manque, une paralysie agitante, que l’on appelle la maladie de Parkinson.

3ème étage : le cortex inférieur du cerveau avec ses deux hémisphères, au mode opératoire totalement différent.
Le mythe des deux cerveaux droit et gauche n’existe pas! Au milieu de ces deux parties, il y a l’épiphyse neurale. L’hémisphère gauche fonctionne par linéarité et par fréquence et traite l’information totalement différemment, et formalise l’information . Le droit fonctionne de façon anarchique et non
linéaire et laisse la non forme.

Focus sur les neurones, au nombre de 100 milliards pour un être humain.
 

4ème étage : les zones limbiques.

Le système limbique n’est pas seulement impliqué dans les émotions mais également dans :
-l’apprentissage de la mémoire.
-l’olfaction
-le contrôle du système endocrinien qui participe à la libération d’hormones
-les comportements alimentaires et l’appétit
-le système nerveux autonome qui contrôle les fonctions respiratoire, digestive et cardiovasculaire.

Anatomie du système limbique

Le système limbique est constitué de plusieurs noyaux situés sous le cortex (structures subcorticales) et à proximité du thalamus :
L’hippocampe qui à un rôle dans l’apprentissage et le stockage d’une information en mémoire à long terme.
L’amygdale prend sont sens dans l’agressivité, la colère, la peur, l’anxiété et la mémoire émotionnelle. Burdach (1776-1847) est à l’origine du terme amygdala. Lorsqu’elle est stimulée électriquement, les animaux réagissent avec agressivité. Et si l’amygdale est enlevée, les animaux deviennent très apprivoisés et ne répondent plus aux choses qui auraient provoqué la rage auparavant.
Le fornix.
Le cortex limbique :(gyrus cingulaire, cingulum, insula et gyrus para-hippocampique) : rôle dans le contrôle conscient du comportement.
Le septum. L’un des premiers rôles fonctionnels à associer au septum a été l’implication dans le circuit de récompense (ou de renforcement). Les noyaux du septum ont été impliqués dans un certain nombre d’autres rôles tels que le comportement social et l’expression de la peur, et les anomalies du fonctionnement septal ont été liées à une variété de maladies allant de la dépression à la schizophrénie.
L’hypothalamus. C’est une des partie vitale du système limbique. C’est l’amiral de la production de multiples messagers chimiques, appelés hormones. Ces hormones contrôlent les niveaux d’eau dans le corps, les cycles de sommeil, la température corporelle et l’apport alimentaire. L’hypothalamus est situé sous le thalamus.
Les corps mamillaires
Le gyrus cingulaire, lui, sert de voie de transmission des messages entre les parties intérieure et extérieure du système limbique.
Noyau antérieur du thalamus.
-L’épiphyse.

5ème étage : Le cortex pré-frontal, ou siège 30 milliards de neurones. Ce dernier est localisé derrière le front. Il a été confondu au lobe frontal, d’où il est séparé. Ce dernier est séparé en trois parties : inférieure, médiane
et supérieure.

L’être humain est le seul être vivant à en posséder un. Il est le chef d’orchestre de toutes les parties du cerveau de haut en bas. Le primate lui, possède un bourrelet sus-orbitaire.

Entre le 15ème et le 18ème jour de la conception, les cellules souches donnent naissances aux cellules gliales puis aux neurones. Le cortex pré-frontal mettra 30 années à se terminer. Ce dernier à une incidence sur la
technique mentale. A la fin du 5ème mois de grossesse, le cerveau est
totalement terminé.

Épiphyse neurale ou glande pinéale

Situé au centre du cerveau en forme de cône de pin de 8 mm, elle est constituée de cristaux d’Apatite.
Le docteur et psychiatre Sergio Felipe de Oliveira de l’Université de Sao-Polo et master en science, à mis en évidence ses fonctions et sa composition. Il est reconnu notamment pour avoir travaillé sur les théories du champs de l’ADN humain, compte tenu de sa formation en génétique du cœur. Le professeur déduit que les gênes ne sauraient fonctionner sans qu’un esprit n’induise leurs fonctionnements : l’embryo-genèse.

L’Épiphyse est une petite glande endocrine responsable, entre autre, des
rythmes circadiens, et de la mise en place de la sexualité. La glande pinéale
donc, capte les ondes du spectre électro-magnétique. Le lobe frontal procède ensuite au décodage, avec le soutien des zones encéphaliques.
John P. Rose de l’Université d’Oxford affirme que l’être humain est biologique, psychologique et spirituel.
Sergio felippe de Oliveira, neuro-psychiatre à l’Université de Sao-Polo a découvert des cristaux d’apatite, (présent à l’état naturel dans la nature). Ils se composent de Phosphate, de fluor et de chlore. Au moyen de diffraction
des rayons X, il s’est aperçu qu’ils ne se calcifiaient pas, mais donnaient lieu
à la formation de structures organisées. La tomographie par ordinateur
et la résonance magnétique ont été utilisées. Il met en évidence une micro
circulation sanguine qui maintient les cristaux métaboliquement actifs
et vivants.
Il donne à la glande une structure semblable à une caisse de résonance.

L’Apatite comporte de nombreux électrons à sa superficie et repousse le champ magnétique; lorsqu’un champ approche, il touche les cristaux et ricoche sur un autre puis est emprisonné. Plus les cristaux sont nombreux plus la personne pourra capter les champs. Les mediums en auraient plus que la normal. Le nombre est une caractéristique biologique et personne ne peut n’y l’augmenter, n’y le diminuer. Comme la couleur des yeux, par exemple..
La glande pinéale est un formidable récepteur et les autres zones du
cerveau décodent ensuite, comme le cortex frontal. Sans cette interaction,
cela serait impossible. Les animaux et notamment les cétacés qui ont cette
glande n’ont pas cette possibilité. La glande pinéale est atteinte par la lumière depuis la rétine des yeux.

Intox :
À propos de la pensée positive, cet un leurre puisque 5% uniquement
remonte à la conscience (découvert lors d’une étude réalisée sur le sommeil aux États Unis.) C’est l’ensemble du cerveau qui fonctionne et qui traite les informations; non une partie. 70% de l’activité mentale est pourtant inconsciente.

Processus de communication

Comme nous l’avons vu ci dessus, les moyens d’accès aux informations d’un médium passent par une conception biologique particulière d’une des parties de son cerveau. Via l’épiphyse neurale, le praticien reçoit donc ses informations. L’ensemble des zones encéphaliques vont par la suite les décoder puis les répartir (visuel ou auditive), avec l’appui du cortex frontal. Ce dernier faisant l’objet aujourd’hui, du plus grand nombre d’investigations.